
Devant la nonchalance de nos leaders indépendantistes et l'inaction des universitaires, la jeunesse indépendantiste est laissée à elle-même tel Gavroche dans les rues de Paris. Selon les dires de certains, le peuple québécois ne voudrait plus de pays, ne voudrait plus se battre pour cette vieille chose qui serait passée date et qu’est la liberté, et que, par le fait même, il accepterait de vivre assujetti dans le PLUS meilleur pays du monde : le Canada. Évidemment, seuls nos chers médias du Québec, qui sont vendus aux intérêts fédéralistes et capitalistes, propagent et essaient de nous faire croire à de telles conneries. Malheureusement, cela fonctionne très bien, jusqu’au point où nous y croyons nous-mêmes. C’est pourquoi nous devons, Québec d’aujourd’hui et de demain, celui qui est encore debout devant l’ennemi, non seulement prendre le flambeau de nos élites tels des Pierre Bourgault, mais aussi vaincre la résignation dans nos propres rangs.
La jeunesse doit accroître son rapport de force de façon plus cohérente et sortir plus unifiée pour qu'enfin le Québec reprenne le goût de se battre ; pour sa dignité nationale, pour la survie de la langue française, pour le contrôle total de son économie et de ses politiques, en somme, pour l’indépendance nationale!
L’invitation que l’on vous envoie, étudiants et étudiantes, en est une de partage et d’enrichissement pour tous. Si la lutte pour l’indépendance du Québec vous intéresse, écrivez nous, s’il vous plaît, le plus tôt possible au min_sherbrooke@hotmail.com
Unissons nos voix! et pour citer Bourgault :« Finis les monuments aux morts! Désormais, nous élèverons des monuments aux vivants. Ils seront fait de notre indépendance et de notre liberté »
Vive la liberté! Vive l’indépendance!
Rendez-vous à la café Orange, à côté du café Équitable au pavillon 2, le jeudi 6 septembre 2007 à 17h30.